« En quelques mois au Sqy Cub, on a plus que doublé nos connaissances sur l’entreprise », raconte Petit-Pierre Guéret, directeur de Yaspeez, une start-up incubée depuis plus d’un an.
Vendredi 18 janvier, l’incubateur du Sqy-Cub a organisé une rencontre entre les start-ups incubées, les nouvelles comme les anciennes. Parmi la quarantaine de start-ups présentes ce jour-là, se trouvaient donc cinq stars-ups fraîchement intégrées, qui débutaient leur cursus de développement lundi 21 janvier.
Leurs instigateurs sont à la recherche d’un accompagnement, tant pour la matérialisation que la commercialisation de leur idées. « Moi je veux un accompagnement pour l’industrialisation de mon projet », raconte ainsi Erick Eby, directeur de Foodconnect, start-up qui crée un frigo extérieur connecté et autonome. De son côté, Nicolas Perez, 20 ans et fraîchement sorti de l’université, se lance dans l’uberisation des services : « Ma start-up s’appelle Hurry, c’est une application qui permettra de faire appel à un pourvoyeur de services, par exemple un plombier, en moins d’une heure. »
Pour lui, tout reste à apprendre, notamment la création d’un business plan prévisionnel. Petit-Pierre Gueret, qui dirige Yaspeez, start-up incubée depuis septembre 2017 et qui propose via une application de mettre en lien les sportifs, se montre rassurant sur ce point : « En quelques mois au Sqy Cub, on a plus que doublé nos connaissances sur l’entreprise. »
