Élancourt
En collaboration avec Maurepas et La Verrière (comme c’est le cas depuis quatre années de suite), la commune élancourtoise organise le feu d’artifice le 13 juillet à partir de 23 h à la coulée verte de la Commanderie. Renseignements sur elancourt.fr

Guyancourt
Le feu d’artifice sera, comme chaque année, tiré le 13 juillet à 23 h depuis le jardin des Gogottes. Il sera, à 17 h, précédé d’animations, proposées par les Espaces de proximité, puis à 19 h 50 par la choré de la mascotte Sunny, à 20 h par des initiations de danse par l’association Calibeurdaine, et de 21 h 15 à 22 h 45 par un bal populaire animé par Ana and the six eight band quartet, qui « reprend les plus grands hits de la variété française et internationale », précise la Ville. Détails sur ville-guyancourt.fr.

Les Clayes-sous-Bois
Contrairement aux autres communes saint-quentinoises, ce n’est pas le 13 juillet mais bien le « vrai » jour de la Fête nationale, soit le 14, que celle-ci sera célébrée aux Clayes-sous-Bois. Rendez-vous au parc de Diane pour une grande soirée en plein air. « À partir de 18 h, venez pique-niquer […] dans un cadre bucolique, en famille, entre amis… Vous pourrez profiter du concert proposé par l’espace Philippe Noiret. Eric Scellier vous fera danser sur de célèbres reprises », détaille la municipalité. À partir de 22 h 30, place à un spectacle de drones, où « une histoire inédite vous sera contée », avant le feu d’artifice. L’entrée est libre et gratuite, détails sur lesclayessousbois.fr.

Montigny-le-Bretonneux
Le feu d’artifice intercommunal de Voisins et Montigny-le-Bretonneux sera tiré comme chaque année le 13 juillet à 23 h au-dessus du bassin de la Sourderie, frontalier entre les deux communes. Il sera précédé, à 21 h 30, d’un bal populaire animé par le groupe Wanted, « groupe d’animation festive, [qui] réunit des musiciens d’horizons divers devenus amis, autour d’un projet commun, vous faire tous danser bien sûr avec en ligne de mire le plaisir de partager et réécouter des titres qui ont marqué les dernières décennies », indique le groupe sur sa page Facebook. Détails sur montigny78.fr.

Plaisir
Le 13 juillet, ce sera bal et fête populaire dans le parc du château, à partir de 21 h (restauration dès 20 h). Il sera suivi d’un feu d’artifice à 23 h. Le bal reprendra ensuite de 23 h 30 à 1 h du matin, pour terminer la nuit. Renseignements sur ville-plaisir.fr.

Trappes
Rendez-vous le 13 juillet à 22 h 30 au parc de la Plaine de Neauphle pour le feu d’artifice de la Fête nationale. Il sera précédé par un Village de solidarité internationale de 17 h 30 à 21 h 30 (le public pourra ainsi venir à la rencontre d’associations de solidarité internationale), et à 19 h du concert du groupe Les Fatals Picards (voir encadré), avec une 1re partie d’artistes trappistes. Le public pourra aussi pique-niquer sur place.

Villepreux
Pas de feu d’artifice mais un pique-nique républicain le 14 juillet. Rendez-vous au V Park à partir de 18 h, podium musical avec l’association Accords et à cris, apéritif offert par la Ville, food trucks, et retransmission de la finale de l’Euro (programmée le même jour à 21 h). Renseignements sur villepreux.fr.

 

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Le groupe Les Fatals Picards jouera à Trappes le 13 juillet 

En préambule du feu d’artifice du 13 juillet à Trappes, se tiendra notamment le concert des Fatals Picards. « Cette année, la Fête ‘‘nationale’’ – je mets des guillemets à nationale – aura une résonance un peu particulière. Ça va se situer une semaine après le 2e tour de ces incroyables législatives. Quel que soit le résultat, ce sera un peu particulier, car quand on instaure une fête pour célébrer l’idée d’unité nationale, ça ne peut que résonner particulièrement en ce moment », glisse, contacté par La Gazette, Laurent Honel, guitariste du groupe. Une déclaration symbolisant bien l’esprit du groupe, engagé sur plusieurs sujets et qui a notamment sorti des chansons s’intitulant Mon père était tellement de gauche, ou encore Et puis merde, je vote à droite !, et qui a joué à la Fête de l’Humanité.

« On n’a pas besoin de faire de programme politique, il suffit d’écouter nos chansons pour savoir un peu ce qu’on pense », lâche Laurent Honel, par ailleurs plus ancien membre en activité de ce groupe fondé en 2000 et composé de quatre musiciens et « une équipe de huit personnes sur la route », tient-il à souligner. Une équipe qui parcourt actuellement les routes de France. « C’est la grosse période des festivals, donc on a entre sept et huit dates par mois minimum », indique le guitariste, 1 800 concerts au compteur en 24 ans avec les Fatals Picards.

Et parmi ces dates, Trappes, pour un concert gratuit au parc de la Plaine de Neauphle dans le cadre de la Fête nationale, donc. Une ville qui semble rappeler quelques souvenirs à Laurent Honel. Dans sa jeunesse, avant l’époque Fatals Picards, il y avait joué de la musique dans le cadre de matchs d’improvisation, où Jamel Debbouze « avait déjà une notoriété locale bien affirmée », évoque-t-il.

Le public trappiste pourra découvrir une partie du dernier album en date des Fatals Picards, intitulé Palalapapapapa et sorti le 29 mars dernier. Le 4e album live du groupe, qui compte aussi dix albums studio à son actif. « C’est un album live, rappelle Laurent Honel. Ce n’était pas par fainéantise car on a sorti un album studio il y a un an, et là on va en préparer un nouveau, mais c’était juste qu’on n’avait pas fait d’album live depuis dix ans, et […] nous, on est vraiment un groupe de scène, donc le public, quand il vient nous voir, il aime bien conserver un album qui témoigne de ce qu’il a vécu. Ça nous paraissait nécessaire de faire ça, c’est un bon témoignage audio de ce qu’est le groupe sur scène. »

Un témoignage de ce que sont les Fatals Picards, dont le style n’est pas forcément simple à définir, entre rock, variété française, folk, ska et musique humoristique. « Rock, 2d degré, chanson française et engagement », résume Laurent Honel. « C’est une fierté et en même temps c’est compliqué de le définir, affirme-t-il. On fait de la chanson avec beaucoup de 2d degré et d’humour. C’est des chansons souvent engagées, dans le sens où on parle de sujets de société. Et il y a beaucoup de rock pour ce qui est de l’énergie. On est un groupe de scène, on s’est construit sur scène, on écrit des chansons presque avec en 1er l’idée de monter sur scène pour les défendre, plus que faire des albums. On a toujours mis beaucoup d’énergie, d’engagement, que ce soit dans les paroles ou dans notre présence sur scène. »