Du 26 mai au 20 juin, la salle Voltaire puis la salle Georges Vedel du Palais de justice de Paris vont voir se tenir le procès en appel de Mohamed Lamine Aberouz, condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité pour avoir aidé Larossi Abballa a assassiné Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider à Magnanville le 13 juin 2016.
« Des enquêtes ouvertes depuis la rentrée de septembre »
Lors du premier procès, la présence de l’ADN de Mohamed Lamine Aberouz avait beaucoup fait parler. Ses avocats, Vincent Brengarth et Nino Arnaud, estimaient que les quantités étaient trop infimes pour prouver la présence de leur client. Ils ont d’ailleurs demandé une reconstitution des événements mais pour le moment le parquet n’a pas répondu à cette requête. En revanche, les juges avaient écarté cette hypothèse de transfert secondaire.
Par ailleurs, de nombreuses questions restent en suspens. Par exemple, pourquoi Larossi Abballa avait décidé de viser le couple Salvaing-Schneider et pourquoi il avait décidé d’épargner leur petit garçon.
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